Le Pentagone a dit refuser de reconnaitre qu’il s’agissait de missiles US.
Dommage, car le général Sergueï Roudskoï, chef du Commandement opérationnel principal de l’État-major de l’armée russe, a bien précisé au cours de son point de presse que les numéros de série, les dates et les marques de productions qu’on voit sur les engins permettaient d’identifier sans difficultés les origines de ces fragments, ajoutant que les résultats de l’analyse seraient utilisés pour perfectionner les armes russes.
Quand on parle d’humiliation, c’en est bien une