A noter que la Russie, a 4200 kilomètres de frontières communes avec la Chine, cette dernière étant par ailleurs le premier partenaire économico-commercial de Moscou, que les échanges entre les deux pays sont très intenses dans divers domaines (affaires, tourisme, échanges d’étudiants,…), et que la Russie fait partie du Top 3 mondial pour le nombre de citoyens étrangers se trouvant sur son sol. Cela sans oublier que des villes comme Moscou et Saint-Pétersbourg font partie des plus grandes destinations touristiques internationales. Et pourtant la Russie est très loin de la situation de nombre de pays d’Europe bruxelloise. Hasard direz-vous ? Non : gestion et prévention tout simplement. Un peu comme durant l’Euro 2016 de football en France, lorsque les forces de l’ordre françaises n’ont pas été en mesure de remettre à leur place les hooligans anglais (les supporters russes l’ont fait à leur place). Comparez avec le déroulement de la Coupe du monde 2018 en terre russe. Autre situation bien évidemment mais révélatrice de la façon à gérer ces situations.
Quant à la Chine : aucun nouveau cas de contamination n’a été recensé dans 21 régions chinoises au cours de ces 14 derniers jours. Dans six régions, il n’y a pas de nouveaux malades depuis plus d’une semaine. La situation épidémique continue de s’améliorer activement dans le pays. Les industries reprennent peu à peu. Efficacité et compétence chinoises obligent. Du travail reste à faire mais l’optimisme fait son retour progressif.
A méditer.