Quelques observations personnelles du moment.

Les choses vont devenir de plus en plus dures pour l’axe otano-kiévien. Les unités les plus professionnelles de l’effectif armé ukrainien ont été anéanties en masse, ou en voie de l’être. La population qui reste encore sur le territoire contrôlé par le régime kiévien s’est fortement réduite (départs massifs pour des raisons économiques depuis de longues années + ceux depuis l’année dernière). La mobilisation forcée et violente, dans les rues et foyers, se poursuit sur l’ordre des parrains otanesques. Les mécontentements commencent à se faire sentir (la passivité due au fait que les Forces armées russes ne frappent pas les civils et à la propagande occidentale – commence progressivement à laisser la place à la colère et à la peur d’être tués au front.

Les mobilisés se trouvant déjà au front n’hésitent pas à se rendre lorsque ils ont en l’occasion (comme récemment ce groupe de mobilisés formés par le régime britannique qui se sont rendus après 20 minutes de combat). Les quelques centaines de chars n’y changeront rien non plus (des milliers ont déjà été détruits).

Sur le plan économique – tout a déjà été dit – échec total des régimes otanesques occidentaux.

Quelle est la prochaine étape ? Attraper en masse les réfugié(e)s ukrainien(ne)s se trouvant en Europe pour les envoyer eux-elles aussi au front ? Ou mobilisation des citoyens de l’Europe bruxelloise ?

A terme l’Occident devra tout simplement reconnaître la défaite. Et c’est tout. Et s’il cherchera l’escalade à tout prix – il connaît déjà l’option de dernier recours de la Russie (j’ai bien précisé – d’extrême dernier recours).

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