Le régime otano-kiévien refuse de céder la ville – en y sacrifiant énormément de ses hommes – non pas uniquement en raison d’une défaite stratégique sur le terrain, ainsi que sur le plan médiatique-informationnel, mais également en raison de la nécessité à devoir expliquer à au moins une partie de sa population, qui commence un tant soit peu à se poser quelques questions – pourquoi au final y avoir sacrifié autant d’hommes, dont les meilleurs unités de combat, pour une bataille perdue d’avance ?
Quant au broyage encore une fois – il peut se poursuivre autant que nécessaire. Au final – le résultat sera le même.