Archives mensuelles : Mai 2015

COOPÉRATION CAMEROUN-RUSSIE : NOUVEL ÉLAN

29 Mai 2015
« J’ai reçu en audience S.E. Nicolay RATSIBORINSKI, Ambassadeur de la Fédération de Russie au Cameroun. Le diplomate russe était porteur d’un pli fermé du Président Vladimir Poutine. L’échange qui a suivi, a porté sur une évaluation de l’état de la coopération entre Yaoundé et Moscou »
S. E. Paul BIYA, président de la République du Cameroun.

http://rene.kimbassa.over-blog.com/2015/05/cooperation-cameroun-russie-nouvel-elan.html

Heureux :)

Sepp Blatter réélu à la tête de la FIFA, navire de guerre yankee chassé de la mer Noire pas les avions de chasse russes, renforcement des relations russo-camerounaises, 89 hauts fonctionnaires de l’UE russophobes interdits d’entrée sur le territoire russe (dont certains refoulés à la frontière).

Porochenko : criminel dans le Donbass, criminel en Côte d’Ivoire

Côte d'Ivoire

Le « président » putschiste ukrainien Piotr Porochenko est un criminel. Cela est bien connu. Le génocide engagé contre la population du Donbass a montré clairement son visage, ainsi que celui de ses maîtres étasuniens. Mais il y a une face cachée de ce sinistre personnage que beaucoup ne connaissent pas. Le « roi du chocolat » est également responsable de génocide contre la population de Côte d’Ivoire.

Certains ignorent encore d’où vient la richesse du président actuel de l’Ukraine. Cet oligarque pro-occidental a fait sa fortune grâce au chocolat. Sa marque Roshen est de loin le plus gros producteur ukrainien de confiserie et fait partie du TOP 15 mondial (http://fr.wikipedia.org/wiki/Roshen). Chose « incroyable », la marque du président pro-européen a renforcé de près de 10 fois ses positions sur le marché ukrainien depuis l’accès au pouvoir des putschistes à Kiev. Après tout, il faut « bien » utiliser sa position.

Les crimes de la junte kiévienne contre la population civile du Donbass sont aujourd’hui connus pratiquement de tous. Les partisans néofascistes de la junte le reconnaissent sans remords. Après tout, l’objectif est clair: éliminer tous ceux qui ne se soumettent pas au diktat pro-US. Mais beaucoup d’Ivoiriens et plus généralement Africains seraient plus qu’intéressés d’apprendre que l’actuel président de l’Ukraine est responsable des crimes en masse contre la population ivoirienne, et du chaos qui s’est créé en Côte d’Ivoire depuis 2002. En effet, Porochenko à l’instar de ses amis occidentaux, n’a jamais caché son aversion pour Laurent Gbagbo, dont les idées et objectifs ne pouvaient aucunement arranger les intérêts oligarchiques des premiers.

Le président ivoirien Laurent Gbagbo était révolutionnaire. Il le reste toujours d’ailleurs bien qu’étant emprisonné dans l’injustice totale à la Cour pénale internationale (CPI). Il voulait arracher la dignité pour son peuple, son pays et son continent. Il a dû en payer les frais de la plus dure des manières, dans la lignée des grands leaders d’Afrique: Lumumba, Sankara, Mandela, Kadhafi pour ne citer qu’eux. Les idées révolutionnaires du président Gbagbo concernaient bien évidemment aussi le secteur du cacao, dont la Côte d’Ivoire est le leader absolu en termes de production: plus de 35% de la production mondiale des fèves de cacao. Plus d’un tiers de chance que les barres de chocolat que nous achetons dans les supermarchés aient été produites grâce aux fèves de Côte d’Ivoire. La volonté de Gbagbo de diversifier les relations dans ce secteur clé de l’économie ivoirienne, notamment avec la Chine, et donner ainsi la possibilité à son pays, de loin le premier producteur mondial, d’y tirer plus profit, n’était aucunement du goût des principales sociétés occidentales du secteur, ni de Roshen de Porochenko…

On connait la suite: l’armée néocoloniale française a délogé par les armes le président légitime ivoirien du palais présidentiel en humiliant totalement l’indépendance et la souveraineté ivoirienne. Mais derrière et bien avant l’humiliation ultime, il y avait ceux qui ont contribué à la création de la rébellion armée, et ce depuis 2002. On y retrouve les mêmes: la France (ou plutôt l’Elysée), les USA et… Piotr Porochenko, l’actuel président ukrainien qui ne pouvait lui aussi permettre que le principal producteur mondial de cacao échappe au contrôle de ses énormes intérêts financiers, d’autant plus liés directement à ce secteur.

Selon le média eurasien et panafricain EODE TV, qui enquête en permanence sur les réseaux occidentaux en Afrique et qui l’avait abordé depuis avril de l’année dernière, Porochenko n’hésitera donc pas à « investir » dans le massacre des Ivoiriens et dans la déstabilisation de la Côte d’Ivoire: participation au financement de la rébellion armée, guerre entre importateurs, après tout le sang des citoyens ivoiriens ne vaut rien pour les prédateurs assoiffés des énormes profits. Et après cela, quelqu’un s’étonne-t-il encore du massacre massif contre la population de Novorossia, ayant refusé de se soumettre au diktat de Washington et de ses sous-traitants maïdanesques kiéviens?

Le fait est que tôt ou tard, ce sinistre personnage devra bien répondre de ses crimes devant une nouvelle justice internationale (certainement pas à la CPI puisque cette organisation s’est discréditée en tant qu’organe de justice). Et lorsque cela arrivera, en plus des habitants du Donbass, les citoyens de Côte d’Ivoire auront toute la légitimité de demander réparation audit criminel pour tous les crimes, massacres et chaos créés dans leur pays. Ce temps viendra, soyez-en sûrs. Et à chaque fois que vous reverrez encore son sourire hypocrite, ainsi que de ses « amis » de l’élite politique occidentale, repensez à toutes ces victimes ivoiriennes ayant pour seule faute le soutien à la dignité de leur nation.

Sputnik va obligatoirement revenir sur ce sujet, notamment à travers des témoignages et analyses d’experts. Les bourreaux doivent bien comprendre que l’impunité n’est pas éternelle.

http://fr.sputniknews.com/points_de_vue/20150530/1016335548.html

Mikhail Gamandiy-Egorov

Les sanctions occidentales ont renforcé l’unité des Russes

Des Russes soutenant le président Poutine

Les effets escomptés par ceux qui ont lancé le « jeu des sanctions » n’ont pas abouti. Au contraire, on voit aujourd’hui clairement l’effet totalement inverse.

L’économie russe se porte pas mal du tout. La monnaie russe, le rouble, en moins de trois mois a récupéré une bonne partie de sa valeur face aux devises étrangères, le tout après les différentes phases des sanctions occidentales à l’encontre de la Russie (on ne peut pas en dire autant de l’Ukraine voisine, pourtant pleinement « soutenue » par l’Occident…). Plus encore, même les élites financières occidentales avouent que la monnaie russe a prouvé pleinement sa fiabilité et représente une valeur sûre (y compris Bloomberg). Et surtout beaucoup de nouvelles perspectives se sont offertes à différents secteurs de l’économie russe « grâce » aux dites sanctions de l’Occident politique.

Les sanctions de réponse russes visant les produits agroalimentaires occidentaux ont fortement frappé les pays concernés, surtout européens. Quant à la Russie, ces sanctions ont au contraire permis aux producteurs nationaux d’avoir beaucoup plus d’opportunités sur le marché de leur pays. D’autre part, cela a ouvert énormément plus de possibilités aux pays amis de la Russie, afin d’occuper de nouvelles niches sur le marché russe, qui auparavant étaient détenues principalement par les exportateurs de l’UE. Les pays de l’espace eurasiatique, d’Amérique latine, d’Asie et d’Afrique, ainsi que des pays comme la Turquie sont donc véritablement ravis de la situation créée. Une situation pour rappel créée par les élites occidentales. En ce qui concerne les producteurs russes, ils ont d’ores et déjà lancé un appel au gouvernement de Russie pour faire savoir qu’ils espèrent fortement que même en cas d’annulation des sanctions occidentales visant la Russie, la Russie elle conserverait les siennes. Une initiative fortement soutenue par la très grande partie de la population du pays. C’est dire.

Mais ce qui faut probablement noter dans toute cette situation, c’est que ces pseudo-sanctions made in USA et appliquées par les satellites étasuniens, et qui avaient pour but évident de déstabiliser la société russe, d’y créer le chaos, la panique, au final n’ont fait que cimenter la société russe et renforcer le patriotisme de tous les composants ethniques et religieux de la Fédération de Russie.

En effet les Russes dans toute leur multiethnicité et multiconfessionalité, sans oublier les représentants étrangers vivant en Russie et ayant obtenu (ou qui obtiendront à l’avenir) la citoyenneté russe, n’ont probablement jamais été aussi unis et ce depuis l’éclatement de l’URSS. En plus du soutien massif des citoyens russes au gouvernement, en premier lieu au président Poutine, on ressent aujourd’hui une véritable symbiose au sein de la société russe. D’autre part, l’amitié des peuples est comme on l’espérait redevenue l’une des principales notions de base de cette nouvelle Russie, forte, puissante, indépendante. Une notion que les ennemis de la Russie ont toujours tenté de détruire mais en vain.

On est aujourd’hui bien loin des tumultueuses années 1990 et du début des années 2000. Ces dernières représentaient le début de la renaissance de la Russie et du peuple russe. Elles étaient loin d’être faciles mais le fait est qu’à l’heure d’aujourd’hui, l’année 2015, on peut ouvertement parler même pas de deux pays totalement différents, mais peut-être même de trois, en rapport direct avec les périodes traversées.

Pourtant et on le voit parfaitement à l’heure actuelle, la Russie doit et devra encore faire face à de nombreux défis. Des défis aussi bien intérieurs qu’extérieurs. Mais tant que l’on gardera cette unité que l’on observe aujourd’hui, nous avons toutes les raisons de croire que la grande marche en avant ne fera que se poursuivre. Tant pis pour les ennemis et les jaloux. Et tant mieux pour tous les partisans du nouveau monde ayant émergé. Ils ne seront sûrement pas déçus.

http://fr.sputniknews.com/points_de_vue/20150526/1016277588.html

Mikhail Gamandiy-Egorov

Kemi Seba dialogue avec l’ambassadrice du Zimbabwe sur le président Mugabe

A voir et revoir. L’ambassadrice du Zimbabwe au Sénégal, Trudy Stevenson, s’exprime sur le président Robert Mugabe et sa politique, tellement décrié par les médias-mensonges occidentaux. Oui, vous avez bien vu : elle est blanche.

Il faut en finir avec la sale propagande occidentale une bonne fois pour toute.

La Russie et ses alliés ont prouvé que le monde ne se limite pas à l’Occident

Vladimir Poutine (deuxième à droite) et ses hôtes après le défilé de la Victoire à Moscou

Il est encore assez difficile pour certains de concevoir la nouvelle réalité dans laquelle nous vivons aujourd’hui. Celle d’un monde où un groupe limité de pays ne pourra plus dicter sa loi impunément.

Un monde dans lequel l’Occident politique continuera à exercer encore de son influence, mais de manière désormais limitée, tout en ayant à rendre des comptes si les nouvelles limites seront dépassées.

L’exemple récent en date: la grande célébration de la fête de la Victoire sur le nazisme le 9 mai, à Moscou. Les « leaders » occidentaux ont « brillé » par leur absence, mais entre nous il est à croire que leur présence même aurait été déplacée, surtout au vu des événements plus ou moins récents. Les élites de pays soutenant aujourd’hui la renaissance du nazisme et de l’extrémisme à différents endroits de la planète n’avaient rien à faire sur la principale place du pays ayant offert le plus lourd sacrifice à l’humanité pour anéantir la peste brune. 

Le plus drôle dans cette situation, c’est qu’on avait bien l’impression qu’au final ce sont ces mêmes « élites » qui se sont retrouvées clairement isolées. Tous les représentants de pays véritablement amis de la Russie étaient présents lors de cette grande fête et venus des quatre coins du monde: ex-URSS, Amérique latine, Asie, Afrique. Quelques délégations non et semi-officielles d’Europe étaient également là. En outre et lors du défilé militaire qui était le plus important et le plus impressionnant depuis bien longtemps, en plus des forces armées russes, on a eu droit au défilé des forces armées d’autres pays: Kazakhstan, Biélorussie, Arménie, Kirghizistan, Azerbaïdjan, ainsi que de Mongolie, de la Serbie, de l’Inde et de la Chine (dont l’effectif était le plus important parmi les pays cités).

Tout le monde a également remarqué les échanges forts amicaux entre les leaders russe et chinois qui étaient assis l’un à côté de l’autre, tout au long du défilé. Le nouveau monde en grande marche, oui on peut le dire. D’autre part et à la veille de la grande fête, la Russie, le Kazakhstan, la Biélorussie et l’Arménie avaient signé l’accord d’adhésion du Kirghizistan à l’Union économique eurasiatique. Un grand moment d’autant plus que l’Union eurasiatique ne compte aucunement s’arrêter en si bon chemin: bientôt ce sera au tour du Tadjikistan, autre république de l’ex-URSS d’Asie centrale, de rejoindre l’union. Le tout sans oublier que d’autres pays analysent eux-aussi cette opportunité. Sans oublier également une fois encore la zone de libre-échange qui passera sous peu à l’étape ultime entre le Vietnam et l’UEEA. 

Mais ce n’est pas tout. Les derniers jours ont été aussi l’occasion de larges manœuvres navales communes en Mer méditerranée entre la Chine et la Russie. Des manœuvres qui ont connu un grand succès, les deux parties ayant exprimé leur entière satisfaction. Les deux nations ont une nouvelle fois montré leur capacité totale de pouvoir intervenir à n’importe quel endroit du globe pour contrer les défis qui leur seront lancés.

L’Occident doit se rendre donc à l’évidence: il ne dirige plus le monde. Le temps des humiliations et des injustices approche sa fin. Bien que ces dernières se poursuivent largement encore à différents endroits de notre planète, on est au moins désormais en droit d’être optimistes quant à l’avenir. Un avenir encore incertain et c’est justement la raison pour laquelle nous ne devons pas relâcher les efforts communs. Le monde multipolaire a besoin de notre unité commune. Peu importe que nous soyons de grands ou de petits pays, tout le monde a son mot à dire. 

Personne ne prévoit d’isoler l’Occident et il restera partie intégrante de l’humanité. D’ailleurs les nombreux messages récents de soutien et de sympathie de la part des citoyens de pays occidentaux, notamment européens, envers la Russie prouvent à quel point les élites occidentales sont éloignées de la réalité. Quoiqu’il en soit, le chemin se poursuit et il est très important aujourd’hui de comprendre que l’humanité est beaucoup plus large que ce qu’on a voulu nous faire croire jusqu’à encore assez récemment.

C’est d’ailleurs un message aux nations encore martyrisées par le néocolonialisme occidental. Le temps est venu de se relever, de prendre les choses en mains, de détruire le diktat extérieur et d’arracher sa dignité. L’Afrique, ce beau continent, est aujourd’hui le théâtre de grandes batailles. Et il y a toutes les raisons de croire que les Africains en sortiront vainqueurs! Et ce malgré toutes les actions criminelles des prédateurs néocolonialistes.

http://fr.sputniknews.com/points_de_vue/20150522/1016212532.html

Mikhail Gamandiy-Egorov

Actualités BRICS & Afrique: la Russie et la Chine renforcent leur unité au sein du CS de l’ONU

Drapeaux russe et chinois

Les élites occidentales finiront par s’y habituer : la Russie et la Chine ont clairement montré une fois encore leur unité et leur vision commune quant à l’avenir des relations internationales dans un monde multipolaire.

Dernier exemple en date: la Fédération de Russie et la République populaire de Chine ont bloqué la proposition de résolution française sur le Burundi.

En effet et une fois encore, les élites politiques occidentales n’ont pas été ravies de voir que deux membres permanents du Conseil de sécurité de l’ONU bloquent communément les visées néocolonialistes de certains autres membres. D’autant plus lorsque cela concerne l’Afrique, un continent martyrisé depuis bien longtemps par les pays occidentaux. Un continent dont de plus en plus de pays privilégient désormais le partenariat avec la Chine, la Russie et les autres pays BRICS. 

La République du Burundi connaitra des élections présidentielles fin juin prochain. Le président en exercice, Pierre Nkurunziza, a décidé de se porter candidat pour un troisième mandat présidentiel. Une annonce qui a vraisemblablement déplu aux représentants des élites occidentales, qui avaient déjà un plan bien à eux en ce qui concerne le futur de ce pays. Plus encore, des tentatives évidentes de déstabilisation sont aujourd’hui observées au Burundi (comme dans d’autres pays africains), ou en d’autres termes des révolutions de couleur (déjà en cours ou à venir), made in USA.

Il n’est pas de notre ressort de commenter si le président en exercice du Burundi, Pierre Nkurunziza, a eu raison ou non de se porter candidat pour un troisième mandat présidentiel. Seuls les citoyens du Burundi sont habilités à faire le choix sur l’avenir de leur nation. Et c’est dans ce cadre, que la Russie et la Chine ont bloqué la proposition de résolution française (soutenue par d’autres pays occidentaux), qui voulait interférer dans le processus électoral burundais, ainsi que dans les questions constitutionnelles. Certains se poseront d’ailleurs la question pourquoi cette proposition était « française » si les principaux intéressés sont outre-Atlantique? Vraisemblablement pour deux raisons relativement simples: francophonie oblige et puis la France d’aujourd’hui se trouve de fait dans une situation de colonie vis-à-vis des USA. Il est donc peu surprenant que la France ait une fois encore joué le rôle du sous-traitant des intérêts étasuniens, d’autant plus que dans le cas de l’Afrique leurs intérêts néocolonialistes se rejoignent de temps à autre. 

Pour revenir à la Russie et à la Chine, voici ce qu’a déclaré Vitali Tchourkine, représentant permanent de la Fédération de Russie auprès de l’Organisation des Nations unies: « Si certains membres du Conseil de sécurité souhaitent discuter avec les citoyens du Burundi la façon d’interpréter la constitution de leur pays, c’est leur droit. Mais le Conseil de sécurité en lui-même n’a aucunement à intervenir dans les affaires constitutionnelles de pays souverains ». Tout est dit.

Pour finir, il serait bon de rappeler que les relations avec l’Afrique constituent l’une des priorités des pays BRICS, aussi bien sur le plan individuel qu’au niveau des actions communes de l’alliance: la Chine est le premier partenaire économique et commercial de ce beau continent et ne cache pas que l’Afrique représente l’une des priorités chinoises en matière de politique extérieure. La Russie revient activement en Afrique et sa présence se fait désormais sentir y compris dans les pays qui n’étaient pas nos alliés même à l’époque soviétique (on pense notamment au Cameroun avec lequel une page très intéressante s’est ouverte récemment dans le cadre des relations bilatérales). L’Inde et le Brésil sont eux aussi des acteurs importants et de plus en plus représentés sur le continent. L’Afrique du Sud est elle-même un pays africain. Continuons d’avancer.

http://fr.sputniknews.com/points_de_vue/20150506/1015970925.html

Mikhail Gamandiy-Egorov